Par Jean-Pierre Rosa
Le premier ministre Grec a pris une décision embarrassante à laquelle on peut tout reprocher sauf de ne pas être démocratique. Coincé entre ses créanciers et son peuple, il a décidé de se tourner vers ce dernier – d’où il tire sa légitimité – pour lui demander s’il voulait, ou non, rester dans l’eurozone aux conditions exigées par les représentants des pays en cause. Lire la suite…