Par Jean-Pierre Rosa
Le 21 juin dernier, l’organisme Santé publique France, publiait une étude estimant à 48 000 décès par an l’impact de la pollution atmosphérique par particules fines en France. Soit une perte d’espérance de vie qui se situe entre 9 et 15 mois selon que l’on habite en ville ou dans des zones rurales de densité urbaine faible. Si l’agglomération parisienne rejoignait le peleton de tête des 5 % de communes les moins polluées, le gain d’espérance de vie serait de près de deux ans. Lire la suite…