Par Louise Clémentier
En apparence, la discussion actuelle sur la modulation des allocations familiales est simple : est-il logique que les familles les plus riches continuent de toucher des allocations familiales, qui sont forfaitaires, alors qu’elles n’en ont comparativement pas « besoin » et que leur plafonnement permettrait d’économiser 400 millions d’euros dès 2015 ? Les termes du débat paraissent alors posés : Lire la suite…