Par Jérôme Vignon
Ce 2 février 2016, à l’invitation de Laurence Dumont, vice présidente PS de l’assemblée nationale, des assises mondiales convoquées par des associations féministes à dominante française s’était rassemblées autour d’une charte destiné à « enjoindre les Etats de l’Union européenne d’agir pour exclure ou abolir en Europe, et si possible au-delà, toute loi ou réglementation visant à autoriser la pratique de la maternité de substitution, contraire au respect de la personne humaine ». Lire la suite…